The Lair's Legacy
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 Alaric Sarren

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Varagus

Varagus


Messages : 808
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Alaric Sarren Empty
MessageSujet: Alaric Sarren   Alaric Sarren Icon_minitimeMer 21 Mar - 20:21

Race: Humain

Nom: Sarren

Prénom: Alaric

Âge: 36 ans

Caractéristiques physiques: Des cheveux bruns s'arrêtant sur le contour de ses joues recouvrent son visage de plus en plus soumis aux affres de l'âge. Au dessus de sa barbe, surmontant une bouche fine et s'accolant à un nez tout aussi fin siègent ses yeux marrons foncés, arborant un regard insistant et brutal, intimant un air de méfiance presque naturel. D'une corpulence et d'une musculature normale, Alaric s'impose aisément du haut de ses 193cm de hauteur lui prêtant une bonne prestance.
Visage:
L'armure qu'Alaric porte la plupart du temps est complète : le Casque de Porion que se transmettent les Maîtres des Sentinelles est gravé de dizaines de runes magiques mais dont seulement une est encore active et fonctionnelle. Surmonté par deux cornes faites d'os d'une bête mythique inconnue, le casque s'accompagne parfaitement au reste de l'armure s'accompagnant toujours de motifs et de métal de couleur sombre. Le reste, qu'il s'agisse des épaulières, des brassards, de la cuirasse, des jambières et des bottes, est semblable à l'armure que porte la plupart des membres de l'Aube Noire.
Armure:


Caractéristiques mentales: Une détermination sans faille caractérise parfaitement la personne d'Alaric. Son souhait de trouver une réponse aux mystères de la Voie motive ses actes. A ses yeux, la réalisation de la quête de l'Aube est d'une importance extrême pour le salut des peuples d'Etheria et il s'est donné le rôle d'être le héros permettant l'avènement d'un nouvel âge d'or. Intransigeant, il s'empresse toujours de punir l'insolence de ceux se mettant sur son chemin ou la trahison des nombreux Sentinelles dont les ambitions faussent le jugement et la raison. Alaric déteste quand un plan ne se déroule pas comme prévu, et si un des dit plan échoue une fois, il n'échouera pas une seconde fois. Loin de se laisser influencer par les autres, il prête cependant une oreille attentive à ce que peuvent lui dire des Sentinelles respectées ou des Mystiques dont il considère conseils et mises en garde comme précieux. Il n'est pas non plus un symbole de générosité et de compassion, mais il considère comme appartenant au bon sens l'obligation de venir en aide à autrui tant que cela n'entrave pas ses objectifs. Ses sentiments sont hermétiquement enfouis en lui, Alaric les considérant seulement comme des plaies bonnes à lui faire prendre de mauvaises décisions et le détourner de son devoir.

Affiliation: Ordre d'Avendor Ordre de l'Aubépine L'Aube Noire

Histoire du personnage: Dans le sud d'Azurith, aux pieds des montagnes qui nous séparent de l'inconnu et par delà Arkanthem, siégeait dans les collines un petit village sans nom et autosuffisant, peu visité par quelconque voyageur ou représentant impérial et les seuls étrangers y allant étant des marchands jouant de la chance en espérant faire d'éventuels profits de ce partenaire commercial peu sollicité. Bûcherons, pêcheurs de rivières, fermiers, tout y était similaire à un quelconque autre village de paysans d'Azurith. La différence était que celui-ci se tenait dans l'ombre des géantes montagnes où vivaient les nobles seigneurs nains. Et c'est dans les ombres que le Mal se plaît à sévir.

Arkanthem vit un jour un homme, prétendant être un marchand, courir comme on avait jamais vu personne courir, avant de s'effondrer de fatigue lorsque sa fuite philippidienne s'acheva dans la protection des murs de la cité. L'Ordre d'Avendor, dont la commanderie principale se situait dans la même ville, fut sollicitée lorsque les rumeurs propagées par le marchand qui était pris au sérieux par la plupart soulevèrent une grande inquiétude parmi la population. On rapporta de sombres rumeurs portant sur un village décimé et de la Magie Noire et les nouvelles se hâtèrent de se répandre, si bien que l'Ordre décida d'agir rapidement. Une expédition de chevaliers s'y rendit et ne put que constater les horreurs qui s'y étaient déroulées. Qui ou quoi que cela puisse être, les visions d'horreur présente en fit vomir plus d'un.

Retrouvé au milieu des maisons calcinées et en ruines, des marres de sangs et de membres et dont les pleurs étaient le seul son produit et audible dans les alentours, le lieutenant responsable de l'expédition ne rapporta que seul ce petit garçon avait survécu. Quels que soient les cauchemars qu'Alaric put vivre ce jour là, une marque indélébile s'enracina secrètement en lui tandis que l'on pensa naïvement qu'il n'aurait aucun problème. Une sorte d'amnésie lui fut d'une grande aide pour paraître comme tout à fait sain auprès des autres. Sans grande délibération, l'Ordre décida de prendre en main l'enfant afin de l'initier à la chevalerie et d'en faire plus tard un membre à part entière.

C'est donc dans l'idée de servir les principes de chevalerie, d'honneur et de justice qu'Alaric arpenta la route qui le mena à devenir un homme. A l'aube de ses dix-huit ans, forgé par une éducation que ses mentors jugèrent fort satisfaisante, il fut alors fait écuyer afin de parfaire sa formation et pouvait désormais officiellement se considérer comme un membre à part entière de l'Ordre d'Avendor. Mais Alaric se présentait déjà comme fort ambitieux. Il s'entraînait ardemment et était d'une assiduité reconnue. Il ne renonçait jamais à une occasion de briller et de se détacher des autres, cherchant sans relâche à prouver sa bravoure et son talent, et ce afin non pas de pouvoir se hisser dans la hiérarchie de l'Ordre mais plutôt pour pouvoir aller plus loin ...

Avendor n'étant qu'un Ordre mineur, il n'était pas un environnement satisfaisant pour observer son ascension. Alaric convoitait une place parmi les chevaliers respectés de l'Ordre de l'Aubépine. De part le lien entre ces derniers et Avendor, cette ambition était possible et se réalisa même quand il obtint de pouvoir se ranger parmi les lames d'Aubépine grâce au soutien de plusieurs lieutenants consentants à appuyer sa demande. Aubépine se révéla être un challenge plus coriace car il se retrouvait comme un ambitieux talentueux au milieu de centaines d'ambitieux talentueux. Une véritable concurrence et plusieurs rivalités marquèrent principalement sa quête d'influence et de gloire mais il ne laissa jamais ces querelles puériles entacher sa réputation aux yeux de l'ensemble de l'Ordre.

Un train de vie normal vint alors bercer ses courtes années de gloire avant que le destin ne le rattrape, resurgissant du passé où il lui avait accordé un sursis pour le hanter à nouveau. Un rassemblement de conditions obscures vint jeter l'opprobre sur l'avenir qu'il s'était tracé. La clé qui ouvrit la porte de sa chute se matérialisa à travers un sentiment et une femme. Cette dernière faisait également partie de l'Ordre et une relation intime se forma entre elle et Alaric depuis ses premiers jours d'appartenance aux Chevaliers d'Aubépine. Leur amour finit par éclore mais son existence courrouça parents et prétendants et rapidement, elle fut forcée contre son gré de devoir mettre un terme à cet idylle.

Faiblesse, colère, peine et perdition, de violents parasites qui permirent à son cœur affligé de se laisser succomber aux douces paroles qu'une langue agile savait émettre. Le propriétaire de cette langue en cette occasion se prénomma Sicar, un autre chevalier dont le silence qui lui est prêté jette sur lui un voile de mystère que l'on ose pas retirer. Saisissant l'opportunité, il approcha Alaric, agissant en bon samaritain souhaitant aider avec volonté une âme en peine. Citant un "remède" à sa tristesse, le jeune homme prêt à tout ne se prêta pas à la réflexion et se laissa bercer dans les paroles de Sicar, acceptant son offre qui l'aiderait, selon les dires de ce dernier, à trouver une vraie solution à son problème. Il prit une dernière gorgée de bière avant que sa vue ne faiblisse et que ses sens le trahissent.

Alaric se réveilla dans une salle froide, peu éclairée et qui lui était inconnue. Taillée à même la roche, elle laissait s'échapper depuis un large trou un rayon de lumière éclairant un piédestal. Son premier réflexe fut d'insulter à plusieurs reprises Sicar et ses éventuels complices pour l'avoir piégé et de chercher un moyen de sortir de là, et ce pendant un long moment, en vain. Finissant par céder, il s'approcha alors du piédestal. Dessus était posé un livre à l'allure très ancienne. La reliure existait encore par un moyen inconnu, la couverture était abîmée et on aurait cru que les pages s'effriteraient si on ouvrait l'ouvrage. C'est ce qu'Alaric décida de faire.

Du blanc. Les pages ne possédaient aucune écritures et étaient vides. Aucun signe, aucun type de langage, rien. Face à l'absurdité de la chose, il insista, cherchant page par page une quelconque inscription, un petit dessin, n'importe quoi. Soudainement, de l'encre se mit à apparaître sur des pages, le silence fut remplacé par une sorte de chuchotement constant et le chevalier sentit son esprit renforcé d'une vivacité qu'il n'avait jamais ressenti. Il s'assit alors contre le piédestal, fasciné, buvant les écrits qui s'affichaient un à un dans le livre au fur et à mesure que ses yeux auscultaient chaque once de papier. Une expérience étrange, quelque chose de mystique se réalisa alors à ce moment. Un sentiment s'exprima au fond de son cœur, comparable à une vieille blessure qui s'était réouverte. Des souvenirs oubliés resurgissaient. Dans les chuchotements, une voix se faisait singulière et de plus en plus compréhensible. Une réelle transe emporta son esprit dans un tournant de son existence.

A son réveil, des hommes en armure, encapuchonnés ou portant un casque, l'entouraient et guettaient son réveil. Parmi eux se dégagèrent Sicar dont le visage était à découvert, permettant à Alaric de le reconnaître, et à ses côtés un homme au visage également caché sous un casque à cornes provoquant un effet assez singulier pour quiconque le verrait pour la première fois. Mais au fond de lui, ce n'était pas la première fois qu'il voyait ces hommes. Ils savaient ce qu'ils étaient. Il avait l'impression de les comprendre et qu'ils le comprenaient. Fixant la visière de l'homme au casque à cornes avec insistance, une sorte d'accord muet se forma entre les deux et, acceptant la main qui lui était tendu, il se releva dans un moment symbolique marquant sa renaissance.

L'Aube Noire lui avait ouvert les yeux sur de nombreuses choses qu'il ignorait ou qu'il avait jusque là décidé d'ignorer. Il fut illuminé sur plusieurs questions laissées sans réponses, sur sa raison d'être, sur la raison pour laquelle il respire, pour laquelle il foule cette Terre. Ce qui se passa durant cette transe le refaçonna et le fit mûrir en l'homme qui l'est aujourd'hui. Il devint une vraie Sentinelle qui intéressa particulièrement les Mystiques de l'Aube. Malgré le fait qu'il ait lu le Tome et qu'il ait poursuivi la Voie, la Tâche se révéla totalement absente en lui. De plus, son ambition, sa détermination et sa volonté de fer de poursuivre les objectifs de l'Aube le détermina rapidement comme successeur du Maître actuel, s'éteignant à petit feu du fait de la corruption qui le faisait pourrir de l'intérieur.

Quand il expira, Alaric se retrouva à la tête de l'Aube Noire. Sa succession fut refusée par de nombreux autres hommes d'ambitions et assoiffés de pouvoir et une véritable guerre interne éclata entre groupes de prétendants. Cependant, avec l'appui des Mystiques et un enchaînement de coups de dagues et de décisions habiles, Alaric s'imposa définitivement comme seul Maître de l'Aube Noire auprès de ceux qui finirent par cesser de contester son autorité. Sous sa main de fer, il comptait bien poursuivre l'oeuvre des Porions et faire avancer l'Aube dans sa quête de vérité.

Compétences civiles:
- Alaric opère l'Aube d'une main de fer soutenue par ses capacités à pouvoir gérer l'organisation et se faire respecter de ses membres.
- La Voie mena Alaric à obtenir un semblant d'érudition. De nombreux savoirs lui offrent des connaissances utiles sur les divers artefacts liés à l'Aube.

Compétences martiales:
- Bretteur confirmé, Alaric manie un long espadon à deux mains et se base sur un style de combat punitif exploitant les erreurs de ses adversaires.

Compétences magiques:
- Maigres, ses seuls talents magiques sont liés à la compréhension et à l'utilisation des artefacts de l'Aube.

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